Hommage d'un grand poète à un autre grand poète de la chanson française.
Rythmique assez classique alternant basse - accord - basse - accord ... comme cela s'entend en "Jazz manouche" et beaucoup également chez Brassens.
Cm D7 Est-ce un reflet de ta moustache G7 Cm Ou bien tes cris de "Mort aux vaches ! Bb7 Eb G7 qui les séduit ? Cm D7 G7 De tes grosses mains maladroites Cm Bb Quand tu leur mets dessus la patte, Bb7 Eb G7 c'est du tout cuit Cm Bb Les filles de joie, les filles de peine Ab Les Margoton et les Germaine G riches de toi Fm Cm Comme dans les histoires anciennes Ab Cm Deviennent vierges et souveraines Ab G7 Cm entre tes doigts Transition couplet-couplet Entre tes dents juste un brin d'herbe La magie du mot et du verbe pour tout décor Même quand tu parles de fesses Et qu'elles riment avec confesse ou pire encore Bardot peut aligner les siennes Cette façon d'montrer les tiennes n'me déplaît pas Et puisque les dames en raffolent On n'peut pas dire qu'elles soient folles, deo gratias Toi dont tous les marchands honnêtes N'auraient pas de tes chansonnettes donné deux sous Voilà qu'pour leur déconfiture Elles resteront dans la nature bien après nous Alors qu'avec tes pâquerettes Tendres à mon cœur, fraîches à ma tête jusqu'au trépas Si je ne suis qu'un mauvais drôle Tu joues toujours pour moi le rôle de l'Auvergnat
